26 décembre 2012
Hier soir à 22h00 pétante, la discothèque de l’hôtel à ouvert ses portes (façon de parler car c’est à ciel ouvert), musique à fond jusqu’à 2h du matin ! Nous avions été prévenu ... ça ne nous a pas déranger.
Au petit déjeuner, tortillas, pan, mantequilla et café.
On passe à la casa de cambio pour échanger nos euro en pesos convertible.
Le change nous est favorable, 1,24 à notre arrivé à la Havane, il est aujourd’hui à plus de 1,27.
Puis à la station service, notre choupinette ne supporte que l’essence especiale à 1,4 CUC le litre, excusé du peu. Bonne surprise, à la pompe le prix mentionné est de 1,15 CUC. Mais le pompiste nous informe gentiment que ce prix ne s'applique pas aux étrangers, ni aux cubains d'ailleurs. Il s'agit du tarif appliqué aux véhicules appartenant de l’état.
Morón constitue un bon point de départ pour visiter la région aux alentours.
Le plein d'essence fait, nous faisons un allé/retour jusqu’à cayo Coco et cayo Guillermo situés au nord, en espérant avoir plus de chance qu’à Varadero.
La route est très bonne, on voit clairement que les nids de poule ont été récemment comblés.
Nous suivons la direction "del Jardines del Rey", notre destination Cayo Coco, l’endroit le plus touristique de Cuba après Varadero. C’est vraiment étonnant, en général ce sont les endroits que nous évitons à tout prix, nous respectons les choix de chacun mais quant à les partager c’est une autre histoire. Nous sommes curieux de voir ces plages dont on parle dans tous les guides touristiques. Avant d’emprunter la digue qui même à Cayo Coco, il faut s’arrêter pour le contrôle des passeports et s’acquitter d’un droit de passage de 2 CUC (idem au retour).
Ensuite on roule sur cette digue longue de plus de 20km, nous traversons la baya de Perros lagune, c’est grisant de rouler sur cette voie plutôt étroite sans aucune protection de part et d’autre. A la première faute de conduite, un pneu qui éclate, un écart maladroit … c’est plouf dans l’eau.
Arrivé à Cayo Coco, nous suivons le panneau Playa Flamenco en espérant découvrir une plage accueillante.
Et là, waouh … une belle plage de sable fin, la couleur de la mer vert émeraude est à couper le souffle !!!! Et de surcroit, pas de touriste ou si peu … 5 au maximum.
Face à la mer, un branchón, de la musique cubaine, une bonne bière fraîche et des camerons grillés … serait ce le paradis ?
Plus tard dans l’après midi nous partons pour le Cayo voisin, Cayo Guillermo.
Nous poursuivons notre route pour aller voir ce qui est considéré comme la plus belle plage des caraïbes d’après les cubains : Playa Pilar.
Grandes dunes, longue plage de sable fin … malheureusement squattée par les clients des all-in voisins. It is not fair !
Nous lorsqu’on se présente dans ces hôtels sans le petit bracelet magique, la porte reste fermée :-(
Sur le chemin du retour, peu après le check point, le village de Turiguano bâti en 1960 par Celia Sanchez Manduley pour héberger les éleveurs de bétail de la région.
De retour à Morón, nous passons chez Maité pour réserver notre diner.
Tout comme la nuit passé, à 22h00 tapante, la discothèque de l’hôtel bat son plein … demain on se lève tôt, nous roulerons probablement une bonne partie de la journée vers l’est.
Hier soir à 22h00 pétante, la discothèque de l’hôtel à ouvert ses portes (façon de parler car c’est à ciel ouvert), musique à fond jusqu’à 2h du matin ! Nous avions été prévenu ... ça ne nous a pas déranger.
Au petit déjeuner, tortillas, pan, mantequilla et café.
On passe à la casa de cambio pour échanger nos euro en pesos convertible.
Le change nous est favorable, 1,24 à notre arrivé à la Havane, il est aujourd’hui à plus de 1,27.
Puis à la station service, notre choupinette ne supporte que l’essence especiale à 1,4 CUC le litre, excusé du peu. Bonne surprise, à la pompe le prix mentionné est de 1,15 CUC. Mais le pompiste nous informe gentiment que ce prix ne s'applique pas aux étrangers, ni aux cubains d'ailleurs. Il s'agit du tarif appliqué aux véhicules appartenant de l’état.
Morón constitue un bon point de départ pour visiter la région aux alentours.
Le plein d'essence fait, nous faisons un allé/retour jusqu’à cayo Coco et cayo Guillermo situés au nord, en espérant avoir plus de chance qu’à Varadero.
La route est très bonne, on voit clairement que les nids de poule ont été récemment comblés.
Nous suivons la direction "del Jardines del Rey", notre destination Cayo Coco, l’endroit le plus touristique de Cuba après Varadero. C’est vraiment étonnant, en général ce sont les endroits que nous évitons à tout prix, nous respectons les choix de chacun mais quant à les partager c’est une autre histoire. Nous sommes curieux de voir ces plages dont on parle dans tous les guides touristiques. Avant d’emprunter la digue qui même à Cayo Coco, il faut s’arrêter pour le contrôle des passeports et s’acquitter d’un droit de passage de 2 CUC (idem au retour).
Ensuite on roule sur cette digue longue de plus de 20km, nous traversons la baya de Perros lagune, c’est grisant de rouler sur cette voie plutôt étroite sans aucune protection de part et d’autre. A la première faute de conduite, un pneu qui éclate, un écart maladroit … c’est plouf dans l’eau.
Arrivé à Cayo Coco, nous suivons le panneau Playa Flamenco en espérant découvrir une plage accueillante.
Et là, waouh … une belle plage de sable fin, la couleur de la mer vert émeraude est à couper le souffle !!!! Et de surcroit, pas de touriste ou si peu … 5 au maximum.
Face à la mer, un branchón, de la musique cubaine, une bonne bière fraîche et des camerons grillés … serait ce le paradis ?
Plus tard dans l’après midi nous partons pour le Cayo voisin, Cayo Guillermo.
Cayo Guillermo et ses flamants roses.
Nous poursuivons notre route pour aller voir ce qui est considéré comme la plus belle plage des caraïbes d’après les cubains : Playa Pilar.
Playa Pilar
Grandes dunes, longue plage de sable fin … malheureusement squattée par les clients des all-in voisins. It is not fair !
Nous lorsqu’on se présente dans ces hôtels sans le petit bracelet magique, la porte reste fermée :-(
Sur le chemin du retour, peu après le check point, le village de Turiguano bâti en 1960 par Celia Sanchez Manduley pour héberger les éleveurs de bétail de la région.
De retour à Morón, nous passons chez Maité pour réserver notre diner.
Tout comme la nuit passé, à 22h00 tapante, la discothèque de l’hôtel bat son plein … demain on se lève tôt, nous roulerons probablement une bonne partie de la journée vers l’est.