Jeudi 20 décembre 2012
Hier nous avons longuement discuté à propos de l'état et surtout de la disponibilité des transports en commun dans le pays. Pour ne pas perdre trop de temps et sortir des sentiers battus, l'idéal serait d'avoir une voiture.
Après le petit déjeuner, nous prenons notre premier taxi collectif direction l’autre bout de la ville pour discuter de la location d’une voiture avec Raquel une connaissance d'Irina.
Hier nous avons longuement discuté à propos de l'état et surtout de la disponibilité des transports en commun dans le pays. Pour ne pas perdre trop de temps et sortir des sentiers battus, l'idéal serait d'avoir une voiture.
Après le petit déjeuner, nous prenons notre premier taxi collectif direction l’autre bout de la ville pour discuter de la location d’une voiture avec Raquel une connaissance d'Irina.
Nous nous postons au bord de la route pour sauter dans un taxi collectif ... c'est notre première fois :-)
Nous sommes les seuls à bord, mais pas pour longtemps.
C'est la toute grosse circulation, par moment un masque à gaz ne serait pas de refus. On à peine à imaginer le taux de C02 qu'elles dégagent .
Nous arrivons à destination, Miramar, le quartier des ambassades, très chic.
A Cuba, il existe deux compagnies de location, toutes deux appartenant à l’état: Cuba Car et Havana Car. Les prix sont identiques, la concurrence est inexistante, impossible de négocier quoi que se soit.
La différence peut se faire si on connait quelqu’un qui connait quelqu’un … c’est la raison pour laquelle nous traversons toute la ville alors que louer une voiture peut se faire auprès de n’importe quel hôtel (tous appartiennent également à l’état).
Notre interlocutrice travail pour une agence pseudo privée appartenant à son époux, ancien diplomate. Elle a très peu de marge de liberté, on arrive à obtenir une petite remise, mais ça reste très cher. Nous sommes en haute saison, les voitures sont rares ... c’est pas raisonnable, on explose notre budget. Le paiement doit se faire en cash ... nous nous reverrons demain.
Notre interlocutrice travail pour une agence pseudo privée appartenant à son époux, ancien diplomate. Elle a très peu de marge de liberté, on arrive à obtenir une petite remise, mais ça reste très cher. Nous sommes en haute saison, les voitures sont rares ... c’est pas raisonnable, on explose notre budget. Le paiement doit se faire en cash ... nous nous reverrons demain.
Nous reprenons un taxi collectif direction La Havana Vieja pour continuer notre visite interrompue la veille, nous payons 10 pesos cubain par personne.
Caille Obispo est noir de monde, il est 13h30, les teenagers se précipitent dans les petits snacks à même la rue.
Les touristes occidentaux sont minoritaires, à cette période de l'année ce sont principalement les cubains expatriés qui rentrent au pays.
Pharmacie toujours en activité qui a su garder son cachet d’antan.
Peu de médicament, une multitude de bocaux (herbes et autres).
Pour peu qu’on soit intéressé par les vieilles bâtisse se promener dans les petites ruelles est un véritable délice. On comprend que la vielle ville ait été classée au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO.
Les ruelles foisonnent de petits métiers, nombreux et variés. On s'installe dans son entre porte avec une petite table ou une planche qui fait office de comptoir. Tout le monde essaye de sans sortir comme il peut.
Un vieux monsieur qui pour quelques pesos prend soins de votre briquet .
Durant la visite de la photothèque, nous avons assisté à l’interview d’une personnalité, photographe exposant ses clichés, interviewé par une chaine locale. Il était entre autre interrogé sur les derniers reflex numériques. Nous cherchons le nom de ce dernier qui tient entre ses mains mon appareil pour expliquer les nouvelles technologies dans le domaine de la photo … c’était plutôt marrant.
Les ruelles environnantes regorgent de bars et de restaurants proposant de la musique live.
Le couvant de San Francisco de Assis et la statue en bronze du Caballero de Paris. De son vrai nom, José Maria López Lledin, il parcourut la ville depuis les années 1920 jusqu’en 1977. Toujours habillé en noir, il n’a jamais quitté la capitale depuis le début d’une maladie mentale.
Il déambulait dans le centre de la Havane, se proclamant le chevalier de Paris. Les restaurants avaient reçu ordre de le nourrir gratuitement. Il mourût en 1985. Les visiteurs viennent lui toucher la barbiche en lui demandant de d’exhausser leurs souhaits.
Sur la place de San Francisco, Frédéric Chopin assis sur un banc.
Nous terminons par la Plaza de la Catedral, tout simplement splendide ... notre coup de coeur de la journée.
La Catedral de la Habana
Nous dînons sur la plaza vieja pour terminer une fois de plus notre soirée au café Paris, c’est l’endroit le plus animé dans les environs.