Jeudi 10 janvier 2013
Nous quittons La Habana, direction l'ouest, Pinar del Río notre prochaine étape à environ 165 km.
Nous quittons La Habana, direction l'ouest, Pinar del Río notre prochaine étape à environ 165 km.
A l’approche de Pinar del
Río, nous décidons de bifurquer sur la droite direction Viñales.
En
route nous embarquons un garçon rentrant du boulot, il habite Viñales … quel
bol, il est tard, son aide sera précieuse.
Il
est près de 19h lorsque nous arrivons. Sachant qu’on cherchait un endroit ou
loger, notre passager a tout tenté pour nous convaincre de l’accompagner à une
adresse proche de son domicile, mais une petite voix nous disait de ne pas
accepter et de nous rendre à l’adresse communiquée par une amie.
Nous débarquons notre passager à l’entrée de la ville ensuite nous empruntons ce qui semble être l’artère principale de Viñales.
Paumé, nous demandons le chemin à une dame se tenant le perron de sa petite porte ornée du symbole indiquant qu’elle pouvait loger des voyageurs. Les explications sont longues et compliquées. Voyant qu’on avait des difficultés, elle décide de nous y conduire … à aucun moment elle n’a essayé de nous proposer une chambre chez elle. Arrivé à bon port, la maitresse des lieux nous informe que sa chambre n’est pas libre. Mais pourquoi ne m’avez vous pas appelé dans l’après midi nous dit-elle à plusieurs reprises … ben, par ce qu’on ne savait pas qu’on allait débarquer à Viñales. Elle nous cherche une autre adresse, mais celle-ci ne nous convient pas. Reste la dame qui nous a aidé, mais elle est déjà repartie ... pas de problème, on nous conduit jusqu’à chez elle.
’Villa Pechano y Yamilet’, on sonne, surprise de nous revoir, la dame ouvre la porte non sans une certaine émotion. Son époux, Pechano, arrive quelques minutes plus tard, il est génial … le courant passe immédiatement. La chambre est très correct, 20 CUC la nuit, une fois installé nous partons à pied vers le parque central. La ville qui compte 27.770 habitants se résume à une seule et unique rue qui la traverse de part en part.
Nous débarquons notre passager à l’entrée de la ville ensuite nous empruntons ce qui semble être l’artère principale de Viñales.
Paumé, nous demandons le chemin à une dame se tenant le perron de sa petite porte ornée du symbole indiquant qu’elle pouvait loger des voyageurs. Les explications sont longues et compliquées. Voyant qu’on avait des difficultés, elle décide de nous y conduire … à aucun moment elle n’a essayé de nous proposer une chambre chez elle. Arrivé à bon port, la maitresse des lieux nous informe que sa chambre n’est pas libre. Mais pourquoi ne m’avez vous pas appelé dans l’après midi nous dit-elle à plusieurs reprises … ben, par ce qu’on ne savait pas qu’on allait débarquer à Viñales. Elle nous cherche une autre adresse, mais celle-ci ne nous convient pas. Reste la dame qui nous a aidé, mais elle est déjà repartie ... pas de problème, on nous conduit jusqu’à chez elle.
’Villa Pechano y Yamilet’, on sonne, surprise de nous revoir, la dame ouvre la porte non sans une certaine émotion. Son époux, Pechano, arrive quelques minutes plus tard, il est génial … le courant passe immédiatement. La chambre est très correct, 20 CUC la nuit, une fois installé nous partons à pied vers le parque central. La ville qui compte 27.770 habitants se résume à une seule et unique rue qui la traverse de part en part.